Newsletter technique

EureTechFlash vise à démystifier les nouvelles technologies et à les rendre transparentes, afin de vous inciter, en tant que réparateur professionnel, à suivre les progrès de la technologie.

Technologie du moteur EcoBoost

20.05.2024
Le downsizing se réfère à la notion de miniaturisation et d’optimisation de la performance d’un moteur pour lui donner des caractéristiques similaires ou supérieures à celles des moteurs de cylindrée supérieure. Cette technique permet aussi de diminuer les taux d’émission de polluants dans l’atmosphère et d’améliorer la consommation de carburant.
Au cours des dernières années, pratiquement tous les fabricants ont rejoint l’usage de la « réduction de taille ». Grâce à l’ingénierie, nous sommes parvenus à améliorer la performance thermique des moteurs à combustion interne, à tel point que leur refonte est possible afin qu’ils soient plus petits tout en maintenant ou en dépassant même les qualités des moteurs plus grands.
En combinant une réduction du nombre de cylindres et/ou de la cylindrée avec l’ajout de différents systèmes tels que l’injection directe de carburant, la suralimentation, la distribution variable, la hauteur variable de soupapes, l’admission variable, la gestion thermique intelligente, etc., les marques sont capables de construire des dispositifs de grande puissance, en tenant compte du fait que la plupart ne dépassent pas 1 600 cm³ et ont moins de quatre cylindres.
Si le downsizing se concentre sur les moteurs à essence, il a toutefois également été appliqué aux moteurs diesel, donnant ainsi naissance aux dénommées architectures modulaires. Sur la même base et avec un grand nombre d’éléments partagés, des propulseurs à essence et diésel réduits et de caractéristiques similaires sont construits, laissant de côté une partie des problèmes de coûts et de fiabilité auxquels sont confrontés les fabricants.
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Technologie Hybride

20.05.2024
Le but de la combinaison d’un moteur thermique avec un moteur électrique est de parvenir à une plus grande efficacité, puisque le système électrique peut accumuler l’énergie des freinages sous forme d’électricité et l’accumuler dans une batterie.
Dans les véhicules à moteur thermique, cette énergie est quant à elle perdue sous forme de chaleur provenant du frottement entre les plaquettes de frein et les disques, en plus de la chaleur générée par le frottement des pièces mobiles du moteur thermique quand il retient le véhicule lors de la décélération.
L’énergie électrique accumulée dans la batterie provenant des freinages servira à assurer la traction lors de l’accélération.
Cette stratégie de fonctionnement permet d’économiser l’énergie, en particulier lorsque les conditions de conduite requièrent de multiples décélérations et accélérations (circulation dans un trafic intense, avec des feux de signalisation, ronds-points, etc.). Cependant, elle cesse d’être bénéfique à une vitesse constante dans une phase de conduite à plat, sans dénivellation.
D’autre part, l’augmentation du prix du carburant, les niveaux de pollution et les nouveaux protocoles pour les épisodes de forte pollution dans les grandes villes, qui interdisent la circulation des véhicules les plus polluants dans le centre-ville, font que de nombreux utilisateurs optent pour l’achat des véhicules plus respectueux de l’environnement.
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Vehicule Electrique

20.05.2024
Au fil du temps, le secteur de l’automobile a connu de nombreux progrès technologiques, mais l’introduction du véhicule électrique est sans aucun doute l’un des plus remarquables.
En 1839, Robert Anderson fabrique les premières générations de véhicule électrique. L’énergie électrique était alors stockée dans des piles non-rechargeables. Les batteries rechargeables sont inventées plus tard, en 1880, et la fabrication des véhicules électriques en série débute avant celle des véhicules à explosion.
En 1899, un véhicule électrique dénommé « La Jamais Contente » bat le record de vitesse en atteignant 105 km/h grâce aux batteries NiFe de Thomas Edison. En plein essor, les voitures électriques représentaient 90% des ventes.
Toutefois, vu leur autonomie et leur rendement relativement bas, leur fabrication cesse. De plus, les véhicules à combustion évoluaient plus rapidement grâce aux moteurs d’aviation principalement.
Actuellement, au vu des exigeantes normes antipollution et grâce au développement des transistors IGBT et des batteries de capacités supérieures, de nombreux fabricants considèrent de plus en plus nécessaire l’investissement dans les véhicules électriques. L’objectif principal recherché est une utilisation plus efficace de l’énergie et par conséquent une réduction des émissions produites par les combustibles fossiles.
À court terme, l’infrastructure de chargement des batteries ne permet pas au véhicule électrique de remplacer le véhicule à combustion interne. De plus, de nombreux modèles sont limités à cause de l’autonomie de leur batterie et de la durée de son chargement. Sa mise en place complète est conditionnée par cette série de facteurs.
Toutefois, la majorité des véhicules électriques actuels parcourent moins de 60 km par jour, généralement en zone urbaine, des distances que la plupart de ces véhicules pourraient assumer sans problème.
En outre, le développement de systèmes de chargement plus rapides (en courant continu) et les nouvelles générations de batterie d’ions de lithium prédisent un futur plus prospère aux véhicules électriques.
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Lubrifiants et Fluides

20.05.2024
Les moteurs de combustion interne rendent possible la transformation de l’énergie générée par la combustion en travail mécanique. Pour pouvoir produire le mouvement, ils disposent d’une grande quantité de pièces mobiles soumises à de grandes charges et à des températures élevées.
Pendant leur fonctionnement, les éléments mobiles frottent les uns contre les autres. Ce frottement génère de la chaleur et produit une usure des éléments ce qui entraîne des jeux excessifs des pièces, des ruptures ou
même leur grippage.
Pour l’éviter, des systèmes de lubrification sont utilisés dans le moteur, ils créent une pellicule entre les éléments mobiles réduisant ainsi la friction et les problèmes qu’elle provoque. Le liquide utilisé pour la lubrification est l’huile moteur.
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Ride Control: Pneus

20.05.2024
Le pneu est une pièce de forme toroïdale fabriquée à partir du caoutchouc, qui se trouve sur les roues des véhicules et machines diverses. Il se compose essentiellement d’une enveloppe en caoutchouc contenant de l’air qui supporte le véhicule et sa charge.
Actuellement, la plupart des pneus des voitures de tourisme comme ceux des camions sont radiaux, ils sont donc composés d’une bande de roulement élastique, une ceinture presque inextensible et une structure d’arcs orientée radialement sur une membrane gonflée et sur des anneaux eux aussi inextensibles permettant de fixer un autre élément rigide tel que la jante. Il existe aussi d’autres types de pneus appelés diagonaux, principalement utilisés pour les camions.
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